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Nuit du Requiem (c) Moussy
Moussy
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AAAAAAAAAAAAAAA
Messages : 117
Date d'inscription : 12/06/2017
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Localisation : Quelque part où personne ne me retrouvera jamais
Loisirs : Je suis chasseuse de licorne, depuis 1917
Humeur : <3
Moussy
Dim 6 Jan - 15:31
Nuit du Requiem fut l'inspiration de Rivou, je mets sa prez ici c:

2015



1
Nuit du Requiem

Nom :
Blacky

Rang :
Guerrière

Âge :
XX Lunes

Clan :
Rivière

Sexe :

Citation et thème :

« La timidité est comme une maladie très dangereuse, il faut s'en débarrasser avant qu'elle ne vous tue »
Son thème serait Nonsense Speaker de Hatsune Miku ou Unravel x)

Liens :

Elle n'a jamais su qui étaient ses parents, n'a jamais eu d'amis, n'a jamais eu de compagnon.
2
Qui est-tu ?

CARACTÈRE - Elle est curieuse et attentive à tout se qui se passe autour d'elle, elle est très discrète et sais se taire quand il le faut.
Mais malgré cela, elle est très timide et mature.
Se laissant néanmoins facilement emporter dans sa colère, elle est également sensible et pleur souvent en silence lorsqu'elle est seule, car elle n'aime pas que les autres voient quand elle est triste.
Elle est discrète, par conséquent se laisse faire... Jamais elle ne réagira si on l'insulte ou même griffe.
PHYSIQUE - Elle a une  douce, et dance fourrure noire comme la nuit et de grand yeux violets claire, sa fourrure est épaisse, mais ses pattes sont grandes et puissante, elle est frêle, et bien contente que son pelage cache ces cotes seyant à travers sa peau si fragile.
Mais ne pas se fier à ca petite taille et à ces petites griffes, car celles-ci sont extrêmement fortes et aiguisées comme des lames de rasoir. et ces pattes grandes pattes puissantes sont aussi rapides qu'un lièvre.
Histoire

«Mon histoire est que je suis née dans le clan de la rivière, mais je suis née sourde...
-Sourde elle ne pourra pas devenir guerrière, et guérisseuse lui serais  tout aussi impossible... avait dit le chef du clan a la reine qui m'avais enfantée... Elle en avait été si abattue qu'elle en est morte!! Je me suis éveillée un matin, contre elle, con corps me paressait froid, alors je lui ai lécher le museau avec tendresse... mais elle ne bougea même pas, je n'ai pas compris se qu'il m'était arriver sur le coup...Lorsque la guérisseuse est arrivée paniquée vers maman, je n'ai pas compris, ce n'est que lorsque ils l'ont emmener devant de promontoire et l'ont veillée toute la nuit que j'ai compris qu'elle était morte... je me suis blottie contre elle, le cœur lourd de chagrin, et j'ai pleurer, je ne pouvais plus m'arrêter.
Mais le matin, a l'aube, alors que les guerriers n'avaient pas encore lancés la première patrouille de la journée, que j'ai vu son esprit recouvert de poussières d'étoiles, j'ai recommencer a pleurer, j'en avais mal aux poumons.
-ne t'inquiète pas. me dit elle en lèchent mes oreilles, se fut la première phrase que j'entendis... ma mère m'avais donner l'ouïe avant de s'envoler vers nos ancêtres.
Je m'en suis toujours voulu se sa mort... Car elle est morte car je ne pouvais entendre... et devenir quelqu'un. maintenant je veux devenir quelqu'un. Pour elle.»


(c) Reira de Libre Graph'





2018



1
Nuit du Requiem

Surnom :
Blacky

Rang :
Guerrière

Âge :
120 Lunes - 10 ans

Clan :
Rivière

Sexe :

Citation et thème :

« La timidité est comme une maladie très dangereuse, il faut s'en débarrasser avant qu'elle ne vous tue »
Son thème serait Nonsense Speaker de Hatsune Miku ou Unravel x)

Liens :

Elle n'a jamais su qui étaient ses parents, n'a jamais eu d'amis, n'a jamais eu de compagnon. Enfin si, elle a aimé un autre chat. Il s'appelait Nuage de Poussière. Qu'il était beau. Et gentil avec elle. Mais il a disparu. Poof, envolé. On ne sait même pas s'il a été tué ou s'il est mort naturellement. Nuit du Requiem n'avait pas été invitée à la veillée funèbre de l'apprenti. Elle était jeune, et personne ne soupçonnait les deux chats de former un couple. Nuit du Requiem garda son amour perdu dans un coin de sa tête. Elle n'a jamais eu d'amis. Elle partait peu. Si peu. La croyait on muette ?
2
Qui est-tu ?

CARACTÈRE - C'était une chatte naïve. Silencieuse. Un peu Lunatique. Elle ne demandait pas d'attention. Elle ne demandait pas de pitié. Elle ne demandait rien. Elle se contentait d'être là. Elle avait un but simple : être la meilleure. Elle voulait avoir le meilleur compagnon, la meilleur famille, les meilleurs amis, être la meilleur guerrière, être la meilleur parmi les meilleurs. La jolie chatte voulait s'appeler Floraison des Nuits.

Même si elle a dépassé les cent lunes de vie, elle n'en reste pas moins incroyablement énergique et enfantine. Elle aurait rêver d'avoir des enfants. Elle aurait rêver d'avoir un apprenti. Autant qu'elle rêvait d'être la meilleure. C'était une chatte déterminée, et si sensible. Elle avait une malice que personne ne voyait. Elle avait cette beauté fascinante que personne ne voyait. Elle avait cette voix chevrotante, cette appréhension à aller vers autrui que tout le monde voyait.

Mais on ne voyait pas sa détresse. Ce n'est pas ce qu'aurait voulu l'être disparu. Il aurait voulu qu'elle reste forte. Il était son mentor de courage. Ah oui, que Nuit du Requiem était courageuse ! Et d'une force, une force monstrueuse ! Qu'elle était belle, qu'elle était grande, cette Nuit du Requiem. Elle était si différente, si innocente. Une vrai plume de soie, cette Nuit du Requiem.

Mais les gens n'aiment pas les personnes différentes. Alors la belle fut oubliée, même de son vivant. Elle était seule. Très seule. Alors elle s'amusait à écouter. Écouter... Son cœur battant. Les insectes chantants. Les feuillages frémissants. La rivière clapotant. La misère de son clan impotent.

Elle ne regardait rien, elle écoutait. Parfois à s'en perdre dans des myriades de son, de bruissements, de colories sonores. Même les sons semblaient changer d'humeur, ainsi que de couleur. Comme des cloches. Une gamme de tons et de demis tons extraordinaire s'offrait à l'entrebâillement déchaîné de ses sens à l'affut du moindre bruit.
PHYSIQUE - L'ombre comme divine s'avance dans la profondeur forestière. On verrait, à s'y méprendre, une ombre. D'un noir parfait. Un noir de jais, aux reflets cuivrés à peine voyants. Une fourrure luxuriante, si douce, si dense. Et un noir. Un noir parfait. Sans traces blanches, grises, ou qu'importe quelle autre couleur. Sa robe était d'un noir somptueux.

Mais le plus troublant dans sa beauté envoutante, ce sont ses yeux. Des yeux volcaniques. Remplis d'une détermination flamboyante, on aurait cru qu'un volcan y était en éruption à chaque fois qu'elle tournait la tête pour regarder. Un mauve sauvage, mouvant comme un magma visqueux, sur une immense plaque tectonique appelée "cornée", même si la cornée ne repose pas sur l'iris. Elle le surplombe. Et on vouait dans cet iris des milliers et des milliers de sentiments. On y voyait à quel point elle avait espoir, à quel point elle était déterminée.

Qu'elle était belle, Nuit du Requiem. Elle était petite, avec des pattes robustes, parfaite pour nager. Sa robe n'était pas rebelle, elle était peu onéreuse à entretenir. Bien qu'elle fût sur le dos de la belle bête une jungle sans nom.

Voyons le problème en face : Nuit du Requiem souffrait d'une grave atrophie pulmonaire. Elle ne pouvait pas avaler de poils, ne devait pas manger trop vite, ne pas angoisser, pour ne pas malmener les voies respiratoires et laisser ses bronches en paix, déjà anormalement fines. C'était peut-être pour ça, aussi, qu'elle parlait si peu..
Histoire

Une paire d'yeux s'ouvrent sur le monde. Un bleu envoutant. Normal. Comme chaque chaton. On ne voit que la partie la plus profonde de l'iris. La mère attend que le chaton grandisse. Pour voir à quoi elle ressemblera, sa Petite Nuit, son trésor inégalé. Elle est fille unique, mais strictement biologiquement parlant, elle a 2 frères et 3 sœurs, et encore 5 d'une autre portée, eux en plaine santé. C'est ce qui arrive, quand on a des chatons alors que l'on est trop âgé. Mélopée des Eclipses s'éteinte avant de voir le violet de sa fille. Signe de stérilité. La chatonne n'aurait aucune descendance. Et la trace de la famille disparaîtrait.

Petite Nuit ne comprit pas tout de suite ce qu'il se passait. D'abord, elle essaya de la réveiller. Sans succès. Elle essaya de lui mordre l'oreille de sa petite gueule non dentelée. Mais rien n'y fit, la reine resta impassible. Elle fut recueillie par les reines de la pouponnière. Elle reçu amour, attention, câlins. Elle ne parlait pourtant pas. Lorsque ses yeux montrèrent leur couleur mauve incandescente, une vague de déception parcouru la pouponnière. Petite Nuit ne comprit pas. Les reine s'occupaient d'elle, mais Petite Nuit ne le voyait pas. Elle ne regardait pas, elle écoutait. Les couleurs lui faisaient mal aux yeux. Et sentir l'air près des autres reines piquait sa truffe sèche et craquelée.

Mais lorsqu'elle comprit que sa mère était morte, les reines virent des torrents de larmes couler le long des moustaches de l'enfant animale. Elle ne disait pas un seul mot. Après tout, il fallait écouter les adultes, et ils ne lui avaient pas demandé de parler. Alors elle laissait sa peine s'enflammer.

Alors c'est ça, la mort ? Elle ne reviendra pas, c'est ça ? Elle ne reviendra plus jamais. Jamais. Jamais. Il n'y aura personne pour raconter son histoire, puisque moi, je ne la connais pas. Il n'y aura personne pour rester avec moi, plus de Maman. Mais... Je veux pas, moi... Je veux pas être toute seule.. Si je pars, je la reverrais ? Et si je le leur demandais, peut-être qu'ils me diront que je peux partir rejoindre ma Maman ? Non, je ne peux pas parler, ils ne me l'ont pas demandé...

Mais... Je veux ma Maman.. Elle ne reviendra vraiment pas ? J-Je...  Ne me souviens pas d'elle... Je ne sais pas quel son sa voix avait. Je ne sais pas à quoi elle ressemblait. Je ne sais pas, je ne sais plus. Est-ce que c'est de ma faute ?! Je ne veux pas que ma Maman soit morte à cause de moi !

Maman, hey, Maman, tu m'entends hein ? Tu es là ? Hein ?
...
Maman ?
...
Je veux pas être toute seule... Maman..
...
..
.
N-Ne me laisse pas..


La belle devint Nuage de Nuit. Elle fut acclamée. Mais elle n'avait toujours pas dit un traitre mot. Elle toussait, ça oui, beaucoup même, une fois elle avait même vomi, mais pas un seul mot. Juste des geignements quand elle avait mal. Et elle ne se plaignait que si elle avait vraiment très mal. Elle n'était pas contraignante, même apprentie. Toujours obéissante, même aveuglement. Elle comprenait vite, elle était plutôt douée, mais son handicap restait trop contraignant pour elle. Même avec la détermination sans faille qui était sienne.

C'est un apprenti qui l'a aidée à être forte et courageuse, en plus de déterminée. Nuage de Poussière était gentil avec elle. C'est lui qui a entendu ses premiers mots. C'est en l'entendant parler que le clan se rendit compte qu'elle avait non seulement écouté, mais retenu bien des détails. Capable de les réciter. Avec Nuage de Poussière, elle a travailler ça. Ils sont aller écouter les histoires des anciens, qu'émender des informations auprès des guerriers, sur les arbres, les animaux, les minéraux, la moindre particule de forêt. Ca c'était une activité qui ne demandait pas des efforts trop importants à Nuage de Nuit, et qui concevrait son souffle, en plus de la stimuler : apprendre. Elle était heureuse. Elle commençait à exister pour le clan.

Ahah... Quelle erreur.

Nuage de Poussière a été retrouvé mort. Nulle ne sait comment ou pourquoi, mais cela ne changea rien à son destin. Nuage de Nuit, médusée et incapable de faire autre chose que de regarder le corps de son cher et tendre, fut poussée à sa tanière. Ils n'avait finalement pas remarqué sa présence tant que ça. Il ne l'avaient pas remarquée.

Lors de la nuit de la veillée, loin de l'esprit parti de son aimé, elle se laissa aller à la colère. Pour une fois, elle se laissa envahir par une émotion négative. La première fois, c'était la mort de sa maman. Cette fois, c'était la mort de celui qu'elle aimait.

Pourquoi tu es parti ?
Non, j'ai une meilleure question, pourquoi ils me l'ont prit ? Ils sont cruels à ce point là ? C'est pourtant pas compliqué ! Je n'ai rien fais de mal, c'est leur faute, LEUR FAUTE ! Toujours leur faute.

Oh non, pardon. C'est de la faute de Nuage de Nuit. Elle est si petite, si frêle, si silencieuse, si inutile, qui voudrait de cette boule de poils ?!J'aimerais tellement qu'on puisse répondre à ma colère. Mais non. Vous autre, là haut, vous préférez dire bonjour aux guérisseurs et aux chefs, et prendre les chats à ceux qui les aiment ! Vous n'êtes qu'une bande d'incapables. Si je fais quelque chose de mal, pourquoi ne pas me le dire ? Et puis MERDE quoi, il y a des centaines de milliers de tueurs, et c'est moi qui prend ?

Ahah, vous vous êtes bien foutus de ma gueule, "clan des étoiles". Clan de Rien du tout ! Les loupiottes qui clignotent là haut, c'est pas des chats morts, c'est juste quelque chose au dessus de nous, en suspension, comme des oiseaux, ou des insectes volants !


La femelle devint guerrière.
NUIT DU REQUIEM ! NUIT DU REQUIEM !

Elle était déçue. Elle aurait voulu s'appeler Floraison des Nuits... Son nom signifiait la mort, littéralement. C'était vexant..

Mais la guerrière ne dit rien. Elle ne fit plus jamais la quête d'apprentissage qu'elle faisait avec Nuage de Poussière. Et elle continua sa route, déterminée. Mais invisible.

*


Douce est la ronde.

Une silhouette noire sillonne les roseaux. Qu'elle est belle, celle silhouette noire. Elle a un poil si dense, si luxuriant. Cette silhouette ombragée au visage tenu. Un visage d'enfant. Elle a l'air si jeune.

Fraîche est la ronde.
Elle est clairsemée de traces d'écume. Une fine écume qui s'est dissipée. Etouffée par un flot comme inconnu. Elle était inconnue. Cette silhouette noire. Une silhouette plus noire que le jais. Une silhouette vraiment belle. Mais si terne. Elle n'est pas comme une ombre, elle est l'ombre.

Terne est la ronde.
L'ombre n'a jamais rien fait. Elle était invisible. Ignorée. Elle a eu beau faire tout les efforts du monde, personne ne l'a jamais remarquée. Comme un esprit vagabond. Une douce Nuit, ou plutôt un Requiem Nocturne. Qui chante la fin des esprits. La timidité d'un vent aussi. Un vent de nuit. Un vent que l'on a jamais vu. Un vent sombre. Qui s'effilochait au fur et à mesure de sa vie.

Morne est la ronde.
Le passé est un si beau temps. Un temps de vérité. Un temps après lequel on peut courir. Un temps qu'on peut fuir. Un temps qu'on peut oublier. Mais qu'on regarde rarement avec envie. On veut revoir un souvenir. On a peur de le perdre, de le voir s'effilocher. C'est ça : Nuit du Requiem. Un sac expiré. De peurs, de course poursuite, de fuite loin, loin, loin, tellement loin.

Nocturne est la ronde.
La ronde tourne dans le vide. Dans un vide infini. Comme précaire. Accablant. La ronde tourne dans le vide vide vide. La ronde uniformément filiforme d'une pâte ombragée hétérogène marche. Marche. Marche. Marche. Elle marche en perçant l'obscurité de ses yeux qui montrent sa faiblesse : sa stérilité. L'ombre féline a les yeux mauves. Elle n'a pas de descendance. Personne. Une ombre comme moi n'a pas d'appartenance. Pas de famille. Pas de compagnon. Pas d'amis. Je suis seule ?

Déliquescente mais florissante.
J'étais si pure. Si fragile. Si petite. Je me relevais encore. Je voulais vivre. Je ne vivais que pour ça. Pour vivre. Pour être la meilleur. J'étais la plus belle des fleurs. La plus épanouie. La plus évoluée. J'étais la rose couleur de nuit au chant de requiem, la nuit qui a fleurit dans l'hiver glacial. La survivante. La douceur à l'état suffoquant. La fleur nocturne aux poumons à l'atrophie paisible. Le requiem agonisant d'un esprit se disloquant de lui même. La nuit du requiem d'une pensée usée fatiguée.

En décadence tout en puissance.
J'ai essayé. J'ai vraiment essayé. J'ai tellement essayé que je m'en suis épuisée. J'étais forte. J'étais si forte. Tu serais si fière de moi. Toi que je n'ai jamais connue. Ma maman, ton nom n'a jamais eu d'importance. J'ai toujours été déterminée. Une détermination flamboyante et sans trace de l'agonie qui me rongeait.

En apathie, en léthargie.

La ronde s'avance dans la rivière. La rivière lèche ses pattes. Elle ne les sent plus, écorchée par la morsure du froid de celle-ci. Elle doit être à 32°c. Cette eau. À la viscosité grandissante. Elle est si froide. Elle va bientôt se transformer en glace non ? La ronde danse dans les flots. Mais ce sont plutôt les flots qui l'emportent vers la plus belle des eaux.

La cascade met fin à la danse meurtrière.

La ronde s'est rompu les os.

Elle fut retrouvée. C'était comme si la vieille chatte n'avait plus de visage.
Elle paressait si jeune. On aurait dit un visage d'enfant. Une agonie masquée. Une agonie silencieuse. Un masque altéré. Il n'affiche même plus de visage. Il n'affiche plus rien.

Le requiem chante au loin son agonie d'extinction au milieu des vies enchevêtrées


« Wasurenaide, Wasurenaide, Wasurenaide, Wasurenaide ! »
Tel est le message que l'entité délivra. Message que personne ne comprit.

(c) Reira de Libre Graph'


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